Infos_SL


A		B		C


D		E

Différents modèles de récepteurs numériques portant ces références existent et sont utilisés pour un usage amateur. Sous d’autres dénominations, les puces qui régissent ces appareils, sont utilisées sous la dénomination ALI. Deux générations de processeurs équipent les modèles, qui figurent ci-dessus.

Nous n’afficherons pas de caractéristiques techniques. Les plus performants de ces modèles, sont, aussi, les plus récentes et sont repérés D et E. Le modèle E, se nomme, en réalité, M 65-12

Cependant, un problème lié à l’utilisation du port série RS 232 est apparu. Une incompatibilité des fichiers BIN liée au « bootloader » rend le chargement des fichiers existants, comme ceux de F3YX, F6IQG, HB9IAM, impossible vers les modèles D et E.

L’ALI EDITOR utilisé, jusqu’à présent, pour tous les autres modèles génèrent un BIN que l’on peut lire à l’aide de cet éditeur. Le fichier peut être édité, modifié, mais ne peut être envoyé vers les deux récepteurs D et E via le port série. L’erreur produite est visible sur la photo, ci-dessous. Le démo est, alors, bloqué, et affiche « CONN ». Il faut débrancher l’alimentation pour reprendre la main.

Le fournisseur allemand (Techniks - direct) qui nous a livré le matériel, a fait la sourde oreille et ne s’est pas occupé de nous fournir le logiciel compatible.

Comag n’a pas mis à jour son site, bien qu’il livre le modèle D sous la marque Silvercrest via le réseau LIDL

Europhon, aimable, par ailleurs, à fini par nous envoyer un programme qui ne fonctionnait pas du tout sur ces modèles.

Sur le Web, nous trouvions, systématiquement, l’ALI EDITOR version 060303A (GM) qui ne convenait pas.

Une recherche avec EMULE a fait ressortir bon nombre d’occurrences, plus ou moins vérolées, et contenant trojans, virus et autres cochonneries. Notre patience a fini par payer.

Avec cette nouvelle version, qui est mise à votre disposition, le « bootloader » contenu dans les BIN est reproduit, ci-dessous.

Les anciens BIN ne sont pas compatibles avec ce nouvel éditeur. F4CRT préconisait de vider le contenu du SL 65-12, d’en effacer ce qui était inutile, et de rentrer, à la main, les données que l’on souhaitait envoyer vers les démos.

Un fichier amorce était, ainsi, réalisé. Vous le trouverez dans le pack mis à votre disposition, sous la référence F1EYA DATV.BIN. Renommez-le à votre convenance, complétez-le, et vous pourrez, ensuite, le charger dans le démo, en sachant que vous écraserez les données qui s’y trouvent.

Attention ! Le fichier produit n’est pas récupérable dans l’ancien éditeur ALI.

Le pack zippé contient, entre autres, un « Manual User PDF », bien utile, et, appréciable.

Lors des manipulations pour tenter d’utiliser différents éditeurs, nous avons trouvé comment remettre le démodulateur aux paramètres usine, par défaut.

Le démo étant en mode veille, appuyer et maintenez enfoncé le bouton de mise en route, pendant 10 à 15 secondes. Observez les afficheurs, et vous verrez apparaître quatre lettres vous indiquant la prise en compte de la demande de RAZ.

Le pseudo S-mètre du M 65-12 réagit aux signaux analogiques. Ca permet un pointage vers une station ou un relais au maximum de déviation. Un « buzzer », que l’on peut implémenter dans ce démo, permet de caler au maximum de signal HF en suivant la variation du bruit vers les aigus. Appréciable !

Alain a constaté, de plus, que ce démo était plus rapide en temps de réaction, et décompression MPEG, que le modèle A, qui est le plus utilisé, pour le moment.

Bravo à F1EYA. Il reste à mentionner qu'il existe aussi, similaire à la version D, un modèle diffusé sous la marque Comag avec alimentation secteur intégrée et qui fonctionne exclusivement sur 220V. Cette version possède également sur la face arrière, des sorties Cvbs, son analogique, son numérique coaxial, son numérique optique, et sortie SVHS indépendantes des deux péritels. De plus on peut sortir sur la première peritel en RVB. Les sorties RVB et SVHS restituent une meilleure bande passante vidéo que la version 12V qui ne possède pas ces sorties, et ne peut fournir que du Cvbs. La face avant plus longue que sur les modèles 12V comprend par ailleurs 6 touches + la touche de mise en route, au lieu des trois touches habituelles.Le logiciel interne a aussi une présentation différente des versions 12V. Cela peut intéresser ceux qui n'envisagent pas de faire du portable. Le temps de réaction, même en plein écran est plus rapide que les versions A, B, ou C, et est aussi rapide en mode fenêtré qu'en mode plein écran, ce qui n'était pas le cas des versions précédentes. A signaler aussi que le bargraph Smètre monte jusqu'à 99% et ne revient pas en arrière pour les signaux puissants comme c'était le cas sur les premières versions, de même le bargraph qualité monte à 92...93% alors qu'il ne montait qu'à 82..83% sur les versions précédentes.